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Tatouages - Christophe Mausen - Iconobook
Etroitement associé à l’univers rock et aux bad boys qu’il vénère, c’est très jeune que le rêve d’arborer un tatouage le saisit. Jeune adolescent, il tapisse ses bras de décalcomanies, animé par un processus d’identification à ses idoles, dont il admettra avoir été plus conquis par la « rock n’roll attitude » que par la musique qu’ils développent.
D’abord freiné par ses parents, ensuite par la variabilité de ses goûts, c’est à l’âge de 50 ans qu’il exauce son vœu en passant sous les aiguilles émérites de Chris Fernandez (Kings Avenue - NYC), lors de son voyage de noces à New-York. Il opte pour le style ‘old school » et recouvre son avant-bras d’un poignard dont le manche est symbolisé par une pin-up vêtue d’un corset Jean-Paul Gaultier. Charmé par la réalisation de son vieux phantasme, il entend poursuivre l’oeuvre entamée à NYC, en confiant la réalisation d’un « sleeve » complet (manchette) à Kim-Ahn Nguyen, tatoueuse suisse de renommée internationale exerçant son art à NYC et à Eindhoven.
Bien que l’art du tatouage se soit largement répandu et qu’il touche aujourd’hui tous les âges et toutes les classes sociales, il assume parfaitement l’image négative et le rejet que peuvent susciter ces dessins parfois considérés, à tort, comme vulgaires. Car selon lui, il n’y pas de choses vulgaires, il n’y a que des gens vulgaires.
Esthète, il idolâtre le contre-pied que représente l’association d’un costume strict et d’un corps tatoué. Le summum de l’élégance urbaine, estime-t-il.
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Tatouages
Etroitement associé à l’univers rock et aux bad boys qu’il vénère, c’est très jeune que le rêve d’arborer un tatouage le saisit. Jeune adolescent, il tapisse ses bras de décalcomanies, animé par un processus d’identification à ses idoles, dont il admettra avoir été plus conquis par la « rock n’roll attitude » que par la musique qu’ils développent.
D’abord freiné par ses parents, ensuite par la variabilité de ses goûts, c’est à l’âge de 50 ans qu’il exauce son vœu en passant sous les aiguilles émérites de Chris Fernandez (Kings Avenue - NYC), lors de son voyage de noces à New-York. Il opte pour le style ‘old school » et recouvre son avant-bras d’un poignard dont le manche est symbolisé par une pin-up vêtue d’un corset Jean-Paul Gaultier. Charmé par la réalisation de son vieux phantasme, il entend poursuivre l’oeuvre entamée à NYC, en confiant la réalisation d’un « sleeve » complet (manchette) à Kim-Ahn Nguyen, tatoueuse suisse de renommée internationale exerçant son art à NYC et à Eindhoven.
Bien que l’art du tatouage se soit largement répandu et qu’il touche aujourd’hui tous les âges et toutes les classes sociales, il assume parfaitement l’image négative et le rejet que peuvent susciter ces dessins parfois considérés, à tort, comme vulgaires. Car selon lui, il n’y pas de choses vulgaires, il n’y a que des gens vulgaires.
Esthète, il idolâtre le contre-pied que représente l’association d’un costume strict et d’un corps tatoué. Le summum de l’élégance urbaine, estime-t-il.
Ford Mustang - Christophe Mausen - Iconobook
Rendue légendaire par la place centrale qu’elle occupe dans le film Bullit (avec Steve Mac Queen), la Ford Mustang Fastback V8 GT390 de 1968 est le modèle préféré de Christophe.
Ses courbes racées, sa musculature et la brutalité du son caverneux de son bloc V8 enfièvrent celui qui adule les « muscle cars » de la fin des années 60.
Lassé de se contenter des modèles réduits, il caresse l’envie de s’asseoir au volant d’un modèle sport de 1968 et d’en faire son véhicule au quotidien.
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Ford Mustang
Rendue légendaire par la place centrale qu’elle occupe dans le film Bullit (avec Steve Mac Queen), la Ford Mustang Fastback V8 GT390 de 1968 est le modèle préféré de Christophe.
Ses courbes racées, sa musculature et la brutalité du son caverneux de son bloc V8 enfièvrent celui qui adule les « muscle cars » de la fin des années 60.
Lassé de se contenter des modèles réduits, il caresse l’envie de s’asseoir au volant d’un modèle sport de 1968 et d’en faire son véhicule au quotidien.
Vins italiens - Christophe Mausen - Iconobook
Tandis qu’ils sont nombreux à afficher des connaissances pointues dans les vins français, Il en est beaucoup moins pour revendiquer ce bagage du côté des vins italiens. C’est donc dans le but de se démarquer qu’il entame son auto-formation en débouchant quelques flacons de grande renommée. C’est ainsi qu’il sera rapidement conquis par la puissance et le velouté de l’Amarone et l’élégance harmonieuse des Brunello. Aujourd’hui, il poursuit son apprentissage sous les conseils éclairés de Stefano Pichionni (Vinivins), délaissant momentanément les grandes étiquettes au bénéfice de vins de terroir d’excellente fabrication. Même s’il en goûte régulièrement, il admet ne pas être une fine gâchette et se considère plutôt amateur que spécialiste.
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Vins italiens
Tandis qu’ils sont nombreux à afficher des connaissances pointues dans les vins français, Il en est beaucoup moins pour revendiquer ce bagage du côté des vins italiens. C’est donc dans le but de se démarquer qu’il entame son auto-formation en débouchant quelques flacons de grande renommée. C’est ainsi qu’il sera rapidement conquis par la puissance et le velouté de l’Amarone et l’élégance harmonieuse des Brunello. Aujourd’hui, il poursuit son apprentissage sous les conseils éclairés de Stefano Pichionni (Vinivins), délaissant momentanément les grandes étiquettes au bénéfice de vins de terroir d’excellente fabrication. Même s’il en goûte régulièrement, il admet ne pas être une fine gâchette et se considère plutôt amateur que spécialiste.
Fromage - Christophe Mausen - Iconobook
Christophe est amateur de bonne chère et de convivialité. Il aime passer du temps au restaurant avec ses amis et ses relations professionnelles, considérant que c’est autour d’une assiette et d’un bon verre de vin que l’on appréhende le mieux les réels contours de la personnalité des individus. S’il raffole des restaurants, ce n’est toutefois pas à la table des grands chefs qu’il prend le plus de plaisir. Ses pulsions gastronomiques le guident davantage vers les établissements proposant une cuisine simple, goûteuse et roborative. D’ailleurs, son repas fétiche tient dans l’élaboration d’un plateau de fromage au lait cru accompagné d’une variété de pains artisanaux et d’une bouteille de vin blanc très frais. Cet appétit pour le fromage l’a conduit en 2006 à étudier la possibilité d’ouvrir une chaîne d’établissements de luxe « Cheese & Wine ». Elaborer des plateaux de fromage au design somptueux, à consommer sur place ou à emporter constituaient le cœur de son concept. Bien qu’il pu compter sur le soutien de plusieurs investisseurs de gros calibre, il abandonna en raison de difficultés personnelles qu’il connaissait à cette époque.
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Fromage
Christophe est amateur de bonne chère et de convivialité. Il aime passer du temps au restaurant avec ses amis et ses relations professionnelles, considérant que c’est autour d’une assiette et d’un bon verre de vin que l’on appréhende le mieux les réels contours de la personnalité des individus. S’il raffole des restaurants, ce n’est toutefois pas à la table des grands chefs qu’il prend le plus de plaisir. Ses pulsions gastronomiques le guident davantage vers les établissements proposant une cuisine simple, goûteuse et roborative. D’ailleurs, son repas fétiche tient dans l’élaboration d’un plateau de fromage au lait cru accompagné d’une variété de pains artisanaux et d’une bouteille de vin blanc très frais. Cet appétit pour le fromage l’a conduit en 2006 à étudier la possibilité d’ouvrir une chaîne d’établissements de luxe « Cheese & Wine ». Elaborer des plateaux de fromage au design somptueux, à consommer sur place ou à emporter constituaient le cœur de son concept. Bien qu’il pu compter sur le soutien de plusieurs investisseurs de gros calibre, il abandonna en raison de difficultés personnelles qu’il connaissait à cette époque.
Sénégal - Christophe Mausen - Iconobook
Découvert, grâce à la présence d’un ami résidant sur place, il s’est rapidement entiché du climat ensoleillé et de l’incomparable qualité d’accueil des Sénégalais. C’est d’abord logé au sein d’une résidence composée de villas de standing qu’il découvre le pays à la faveur de la maestria d’un chauffeur de taxi attentionné et fiable. C’est ensuite au travers d’un Land Cruiser HDJ 105, acheté sur place, qu’il parcourt le pays de long en large accompagné de son désormais ami, Moustafa Dieng. Très peu équipés, mais conjointement motivés par l’idée de vivre une vraie aventure, ils franchissent les frontières maliennes pour un périple de 28 jours qui les verra patrouiller plus de 6.000 Kms sur les pistes de latérite. Après y avoir séjourné 7 ou 8 fois, la recomposition de sa famille et le bas âge de ses deux derniers enfants l’écartent provisoirement du pays de la Teranga, ne trouvant pas un projet capable de réconcilier les inclinaisons de chacun.
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Sénégal
Découvert, grâce à la présence d’un ami résidant sur place, il s’est rapidement entiché du climat ensoleillé et de l’incomparable qualité d’accueil des Sénégalais. C’est d’abord logé au sein d’une résidence composée de villas de standing qu’il découvre le pays à la faveur de la maestria d’un chauffeur de taxi attentionné et fiable. C’est ensuite au travers d’un Land Cruiser HDJ 105, acheté sur place, qu’il parcourt le pays de long en large accompagné de son désormais ami, Moustafa Dieng. Très peu équipés, mais conjointement motivés par l’idée de vivre une vraie aventure, ils franchissent les frontières maliennes pour un périple de 28 jours qui les verra patrouiller plus de 6.000 Kms sur les pistes de latérite. Après y avoir séjourné 7 ou 8 fois, la recomposition de sa famille et le bas âge de ses deux derniers enfants l’écartent provisoirement du pays de la Teranga, ne trouvant pas un projet capable de réconcilier les inclinaisons de chacun.
Course à pied - Christophe Mausen - Iconobook
C’est fasciné par le récit d’un copain qui a parcouru son premier marathon à l’âge de 50 ans, qu’il s’est approprié cette lubie. Bien décidé à plagier l’exploit de Dany Drion, il débute sa préparation par un sérieux rééquilibrage alimentaire qu’il accomplit sous la guidance du diététicien-nutrionniste liégeois, Damien Pauquet. Deux mois plus tard, délesté de 10 kg superflus, il entame un programme de réathlétisation sous l’œil attentif d’un coach méticuleux, Damien Naslain. Encroûté par des années d’inactivité physique, il débute sa préparation par de petites sections parcourues à très faible allure, suivies de périodes de marche et de récupération. Quelques mois plus tard, alors que sa balance continue à le féliciter, il réalise des sorties plus conséquentes (7 ou 8 kms), toujours à faible intensité de manière à travailler le socle de son endurance. C’est seulement au bout de 7 mois d’entrainement, à raison de 3 ou 4 sorties hebdomadaires qu’il réalise son premier semi-marathon (21kms) en 1H47. A l’endurance fondamentale se sont ajoutées des séances de travail spécifique, plus éprouvantes, destinées à améliorer sa vitesse. En mars 2017, il améliore son temps sur semi en signant un temps honorable de 1H40’. 18 mois après ses premiers trots, débarrassé de 20 kilos de graisse pure et stimulé par un programme d’entrainement de 12 semaines, il prendra le départ du marathon de Berlin, célèbre pour sa réputation d’être le plus rapide du monde et consacrera son rêve en réalisant un chrono de 3H43’.
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Course à pied
C’est fasciné par le récit d’un copain qui a parcouru son premier marathon à l’âge de 50 ans, qu’il s’est approprié cette lubie. Bien décidé à plagier l’exploit de Dany Drion, il débute sa préparation par un sérieux rééquilibrage alimentaire qu’il accomplit sous la guidance du diététicien-nutrionniste liégeois, Damien Pauquet. Deux mois plus tard, délesté de 10 kg superflus, il entame un programme de réathlétisation sous l’œil attentif d’un coach méticuleux, Damien Naslain. Encroûté par des années d’inactivité physique, il débute sa préparation par de petites sections parcourues à très faible allure, suivies de périodes de marche et de récupération. Quelques mois plus tard, alors que sa balance continue à le féliciter, il réalise des sorties plus conséquentes (7 ou 8 kms), toujours à faible intensité de manière à travailler le socle de son endurance. C’est seulement au bout de 7 mois d’entrainement, à raison de 3 ou 4 sorties hebdomadaires qu’il réalise son premier semi-marathon (21kms) en 1H47. A l’endurance fondamentale se sont ajoutées des séances de travail spécifique, plus éprouvantes, destinées à améliorer sa vitesse. En mars 2017, il améliore son temps sur semi en signant un temps honorable de 1H40’. 18 mois après ses premiers trots, débarrassé de 20 kilos de graisse pure et stimulé par un programme d’entrainement de 12 semaines, il prendra le départ du marathon de Berlin, célèbre pour sa réputation d’être le plus rapide du monde et consacrera son rêve en réalisant un chrono de 3H43’.
Jean-Paul Gaultier - Christophe Mausen - Iconobook
C’est en 1986, dans le salon dolhaintois de Pierre Proumen qu’il s’émeut de la longue jupe noire et des bottines hautes tiges qu’arbore alors son coiffeur. Signées Jean-Paul Gaultier, ces 2 pièces maîtresses le subjuguent tant par la qualité des matières que par la fabuleuse originalité du style. Un contraste saisissant entre cuir de motard et jupes de ballerine. Sa fascination pour le jeune créateur le conduit quelque temps plus tard à pousser la porte de son magasin parisien. Pour la seconde fois, il est « knock down debout « en constatant l’époustouflante scénographie du lieu, fruit d’une alliance parfaite entre matériaux bruts et blancheur de plumes. C’est là qu’il découvre les créations phares de JPG : son parfum, sa marinière et ses kilts au tartan rouge vif. Christophe est à ce point enflammé qu’il sanctifie l’art du créateur et s’incline devant tant de liberté intellectuelle, permettant à l’enfant terrible de la mode de transgresser les règles et de brûler les vaches sacrées. Depuis 30 ans, Christophe vénère son idole et le considère comme le pape de la créativité et de l’esthétisme absolu.
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Jean-Paul Gaultier
C’est en 1986, dans le salon dolhaintois de Pierre Proumen qu’il s’émeut de la longue jupe noire et des bottines hautes tiges qu’arbore alors son coiffeur. Signées Jean-Paul Gaultier, ces 2 pièces maîtresses le subjuguent tant par la qualité des matières que par la fabuleuse originalité du style. Un contraste saisissant entre cuir de motard et jupes de ballerine. Sa fascination pour le jeune créateur le conduit quelque temps plus tard à pousser la porte de son magasin parisien. Pour la seconde fois, il est « knock down debout « en constatant l’époustouflante scénographie du lieu, fruit d’une alliance parfaite entre matériaux bruts et blancheur de plumes. C’est là qu’il découvre les créations phares de JPG : son parfum, sa marinière et ses kilts au tartan rouge vif. Christophe est à ce point enflammé qu’il sanctifie l’art du créateur et s’incline devant tant de liberté intellectuelle, permettant à l’enfant terrible de la mode de transgresser les règles et de brûler les vaches sacrées. Depuis 30 ans, Christophe vénère son idole et le considère comme le pape de la créativité et de l’esthétisme absolu.